Réforme DPE 2026 : Guide sur le nouveau Coefficient Électricité !

Réforme DPE 2026 : le Guide complet sur le nouveau Coefficient électricité

Par Matchimo
November 20, 2025
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Qu'est-ce que ca change ?

La réforme du DPE prévue pour le 1ᵉʳ janvier 2026 s’inscrit dans un mouvement plus large de transformation du parc immobilier français.

Elle vise à corriger les biais qui subsistent dans la méthode de calcul actuelle, notamment à l’égard des logements chauffés à l’éle

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Pourquoi la méthode de calcul du DPE change-t-elle en 2026 ?

La réforme du DPE prévue pour le 1ᵉʳ janvier 2026 s’inscrit dans un mouvement plus large de transformation du parc immobilier français.

Elle vise à corriger les biais qui subsistent dans la méthode de calcul actuelle, notamment à l’égard des logements chauffés à l’électricité.

Cette évolution n’est ni anecdotique ni technique : elle répond à une logique politique, environnementale et réglementaire clairement assumée.

Simulateur DPE 2026 : Estimez votre futur classement

Mini-simulateur DPE 2026 (coefficient électricité)

Estimez, à titre indicatif, l’étiquette de votre logement avant et après la réforme 2026. Ce simulateur simplifié se concentre sur l’impact du coefficient électricité.

L’impact du nouveau coefficient concerne les systèmes alimentés à l’électricité (y compris PAC).
Sert à ramener la conso au m²/an.
Additionnez chauffage + eau chaude + auxiliaires (estimation tolérée).
Par défaut 1,0 (gaz/fioul ≈ 1,0). Modifiable pour affiner.
Résultat instantané, purement indicatif.

⚠️ Avertissement : outil éducatif et non contractuel, ne remplace pas un diagnostic réalisé par un professionnel certifié.


Un contexte politique porté par la transition énergétique

Depuis plusieurs années, les pouvoirs publics cherchent à aligner les outils réglementaires sur les objectifs climatiques nationaux et européens. Le Diagnostic de Performance Énergétique constitue un levier central de cette stratégie : il informe, oriente et parfois contraint la circulation des biens immobiliers en France.

Or, dans sa version actuelle (méthode 3CL 2021), le DPE présente un déséquilibre qui pénalise les logements chauffés à l’électricité. Cette situation est due à un coefficient de conversion historiquement élevé (2,3), qui transforme l’énergie finale en énergie primaire. Ce coefficient n’est pas fondé sur la réalité actuelle du mix énergétique français, mais sur des modèles anciens datant des années 2000, lorsque l’électricité était considérée comme peu efficiente en raison des pertes liées au transport et à la production.

Aujourd’hui, la France produit plus de 91 % de son électricité en moyenne annuelle à partir de sources décarbonées (nucléaire, hydraulique, renouvelables) selon les données de RTE – Bilan Électrique 2023. Le maintien d’un coefficient de 2,3 ne reflète donc plus fidèlement l’impact carbone réel de l’électricité française.

La réforme vient corriger cette incohérence et s’inscrit dans une logique de cohérence réglementaire : aligner le DPE avec la transition énergétique réelle du pays.

mix énergétique français

Un objectif clair : rééquilibrer l’évaluation entre électricité et gaz

Le cœur de la réforme repose sur une volonté exprimée depuis 2022 par le Ministère de la Transition Écologique : rééquilibrer la méthode du DPE pour ne pas favoriser artificiellement les énergies fossiles au détriment de l’électricité.

Pourquoi ? Parce que le chauffage électrique, longtemps considéré comme “mauvais élève”, n’est plus synonyme de forte empreinte carbone. Avec un mix très faiblement émetteur, l’électricité devient même l’une des énergies les plus cohérentes avec les objectifs de neutralité carbone fixés pour 2050.

En revanche, le chauffage au gaz — pourtant souvent mieux noté avant 2026 — repose sur une énergie :

  • non renouvelable,
  • émettrice de CO₂,
  • dépendante des marchés et des tensions géopolitiques,
  • incompatible avec une partie du calendrier de décarbonation européen.

Ainsi, la réforme du DPE 2026 poursuit un objectif explicite : mettre fin à une notation qui sous-évalue l’empreinte carbone du gaz et surestime celle de l’électricité.

Le passage du coefficient électricité de 2,3 à 1,9, validé par un arrêté public et conforme aux recommandations européennes sur la conversion énergie finale → énergie primaire, permet enfin une lecture plus juste des performances réelles des logements.

Tableau comparatif : avant / après réforme

Type de chauffage DPE actuel (coef 2,3) DPE 2026 (coef 1,9) Évolution estimée
Électrique F E +1 classe
Pompe à chaleur E D +1 classe
Gaz D D Stable
Fioul F F Stable
Ce qu’il faut retenir

La baisse du coefficient électricité de 2,3 à 1,9 améliore mécaniquement la performance énergétique des logements chauffés électriquement ou équipés d’une pompe à chaleur. En revanche, les biens fonctionnant au gaz ou au fioul restent globalement stables.

Une mise à jour nécessaire pour éclairer les décisions immobilières

Cette révision n’a pas seulement un intérêt écologique ou technique. Elle a aussi une portée économique et sociale.
Un DPE plus juste permet à :

  • aux propriétaires, de mieux comprendre la valeur énergétique de leur bien ;
  • aux acheteurs, de comparer équitablement les logements selon leur système de chauffage ;
  • aux investisseurs, d’éviter les biais réglementaires pénalisant certains biens ;
  • aux professionnels immobilier, de fonder leurs estimations sur des données cohérentes ;
  • aux pouvoirs publics, d’encourager la transition vers des systèmes moins carbonés.

Autrement dit, la réforme ne cherche pas seulement à actualiser un outil technique : elle vise à refléter la réalité du marché, à accompagner les stratégies de rénovation, et à donner de la visibilité aux ménages et aux acteurs de l’immobilier.

Qu’est-ce que le coefficient de conversion électricité ?

Le coefficient de conversion est l’élément central du calcul du DPE : il permet de transformer l’énergie finale consommée par un logement (celle indiquée sur vos factures) en énergie primaire, l’unité officielle utilisée pour déterminer l’étiquette énergétique. La formule est simple : Énergie primaire = Énergie finale × Coefficient de conversion.

Pendant des années, ce coefficient a été fixé à 2,3 pour l’électricité, contre environ 1 pour le gaz ou le fioul. Ce choix reposait sur l’idée que la production d’électricité générait davantage de pertes — un raisonnement hérité d’un mix énergétique ancien, beaucoup plus carboné.

Résultat : un logement électrique apparaissait artificiellement énergivore, même lorsqu’il était bien isolé et peu consommateur. Ce biais pénalisait à tort une énergie devenue aujourd’hui largement décarbonée (à plus de 90 %) selon RTE, et donc essentielle à la transition écologique.

C’est pour corriger cette distorsion que le gouvernement a acté une évolution majeure : au 1er janvier 2026, le coefficient électricité passera officiellement de 2,3 à 1,9.

Un changement simple en apparence, mais qui transforme profondément la manière dont la performance des logements électriques sera évaluée : moins d’énergie primaire calculée = une meilleure étiquette DPE, souvent sans travaux.

Ce qu’il faut retenir

La base du calcul du DPE repose sur une formule simple :
Énergie primaire = Énergie finale × Coefficient de conversion.

À compter du 1er janvier 2026, le coefficient de conversion pour l’électricité passera officiellement de 2,3 à 1,9, ce qui réduira mécaniquement l’énergie primaire calculée pour les logements électriques.


Les nouveaux seuils de classement énergétique (A à G)

Avec l’arrivée du nouveau coefficient, l’ensemble du barème DPE doit être rééquilibré pour maintenir une grille de lecture cohérente.Le classement énergétique reste organisé en sept niveaux (de A à G), mais les seuils sont réajustés pour intégrer la baisse de l’énergie primaire calculée pour les logements électriques.

Avec l’arrivée du nouveau coefficient, l’ensemble du barème DPE doit être rééquilibré pour maintenir une grille de lecture cohérente. Le classement énergétique reste organisé en sept niveaux (de A à G), mais les seuils sont réajustés pour intégrer la baisse de l’énergie primaire calculée pour les logements électriques.

Voici une présentation simplifiée des seuils de référence du futur DPE 2026 :

Seuils de référence du futur DPE 2026

Étiquette Consommation (kWhEP/m²/an)
A ≤ 70
B 71 – 110
C 111 – 180
D 181 – 250
E 251 – 330
F 331 – 420
G > 420

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Quels logements vont changer de classe énergétique en 2026 ?

La réforme du DPE 2026 ne touchera pas tous les logements de la même façon : certains verront leur note s’améliorer automatiquement, d’autres resteront inchangés, et quelques-uns pourraient perdre en attractivité. Comprendre ces écarts est essentiel pour anticiper la valeur future de votre bien, préparer une vente ou ajuster une stratégie locative. Voici les profils de logements qui sortiront gagnants — et ceux qui pourraient être laissés sur le bord de la route.

Les grands gagnants : logements chauffés à l’électricité

La réforme du DPE 2026 profite en premier lieu aux logements chauffés à l’électricité. Grâce à la baisse du coefficient de conversion (de 2,3 à 1,9), leur consommation d’énergie primaire est automatiquement réduite dans le calcul, ce qui entraîne une amélioration mécanique de leur étiquette.

Cette revalorisation est loin d’être marginale. Dans de nombreux cas, un logement aujourd’hui classé F ou E — mais pourtant bien isolé — retrouvera une note bien plus cohérente avec sa performance réelle.

Exemples concrets :

  • Un appartement de 55 m² chauffé à l’électricité consommant 9 000 kWh/an passe typiquement
    de F (≈ 375 kWhEP/m²) à E (≈ 310 kWhEP/m²).
  • Une maison de 90 m², bien isolée mais équipée de radiateurs électriques récents, peut passer de E à D.
  • Un logement équipé d’une pompe à chaleur — particulièrement efficient — peut gagner 1 à 2 classes, notamment lorsqu’il frôlait déjà les seuils supérieurs.

Cette dynamique change totalement la perception des logements électriques, longtemps pénalisés par un coefficient disproportionné. Ils deviennent plus attractifs, plus faciles à valoriser et sortent, dans certains cas, des contraintes associées aux passoires énergétiques.

logement electric DPE 2026


Les perdants : logements au gaz ou au fioul

À l’inverse, les logements chauffés au gaz ou au fioul ne bénéficieront d’aucun allègement dans le calcul. Leur coefficient reste stable, ce qui signifie que leur classe énergétique ne devrait pas évoluer après janvier 2026. Dans certains contextes, ces logements peuvent même connaître une dégradation relative : non pas parce qu’ils consomment davantage, mais parce que les biens électriques progresseront autour d’eux. Autrement dit, leur position dans la hiérarchie énergétique devient moins favorable, ce qui peut impacter :

  • leur valeur sur le marché, face à une concurrence électrique mieux notée,
  • leur attractivité locative, surtout dans les zones urbaines où les DPE sont un critère décisif,
  • et leur exposition au statut de passoire énergétique, puisque les classes F et G restent inchangées pour les énergies fossiles.

Pour un propriétaire chauffé au gaz ou au fioul, la réforme n’apporte pas d’avantage direct : l’amélioration de l’étiquette passera uniquement par des travaux d’isolation, de ventilation ou de changement de système de chauffage.

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Bien anticiper la réforme DPE 2026 dès maintenant : les actions clés

Refaire son DPE avant ou après janvier 2026 : le bon timing

La réforme bouleverse l’interprétation des DPE, mais leur durée de validité, elle, ne change pas : tout diagnostic réalisé après juillet 2021 reste valable jusqu’à sa date d’expiration. Pour un propriétaire vendeur ou bailleur, le choix du bon moment pour refaire son DPE dépend d’une stratégie précise.

Un bien chauffé à l’électricité aura tout intérêt à attendre l’entrée en vigueur du coefficient 1,9, qui améliorera naturellement sa note.

À l’inverse, si une vente ou une mise en location doit intervenir avant 2026, un DPE actuel reste indispensable, puis pourra être mis à jour l’année suivante pour refléter les nouveaux seuils.

Comment agir si votre logement est classé F ou G ?

Pour les passoires énergétiques, la réforme n’efface pas les obligations : les classes F et G restent encadrées et limitent la location. Les propriétaires doivent donc envisager des travaux ciblés — isolation, ventilation, remplacement du chauffage — afin d’améliorer durablement la performance du bien.

Ces interventions peuvent s’appuyer sur des aides dédiées comme MaPrimeRénov’, les certificats d’économie d’énergie, ou encore des prêts rénovation adaptés aux projets de performance énergétique.

La réforme 2026 peut améliorer légèrement la note des logements électriques, mais elle ne remplace pas une rénovation pensée pour la revente ou la location.

Les outils pour comprendre l’impact de la réforme

Pour anticiper votre future étiquette, plusieurs ressources existent déjà. Le simulateur officiel de l’ADEME (ou ses équivalents provisoires en attendant la version 2026) permet d’estimer la performance énergétique après réforme.

Les tableaux de conversion publiés par les autorités donnent également une vision claire des seuils A à G et de leur évolution. Interpréter ces données aide à définir une stratégie : attendre, rénover, ou recalculer son DPE après janvier 2026

Ⓜ️ Ce qu'il faut retenir pour ancitiper la réforme :
  • Identifier le mode de chauffage principal (électrique, PAC, gaz, fioul, autre).
  • Relire votre DPE actuel : classe, date de réalisation, consommations et recommandations.
  • Évaluer le bon timing pour un nouveau DPE : avant ou après janvier 2026 selon votre projet.
  • Simuler l’impact du coefficient 1,9 sur votre logement via un simulateur DPE 2026.
  • Si votre bien est classé F ou G, lister les travaux prioritaires pour sortir du statut de passoire.
  • Identifier les aides mobilisables : MaPrimeRénov’, CEE, prêts travaux, accompagnement rénovation.
  • Mesurer l’impact potentiel sur la valeur de vente ou de location de votre bien.
  • Adapter votre stratégie : vendre, louer, rénover, ou combiner plusieurs options dans le temps.
  • Se faire accompagner par un expert immobilier/diagnostiqueur pour valider vos choix avant 2026.

Ne laissez pas la réforme décider à votre place : prenez les devants dès maintenant

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Pros de l’immobilier : comment prendre de la hauteur et tirer parti de la réforme DPE 2026

La réforme du DPE 2026 ne se limite pas à un changement technique du coefficient électrique. Pour les professionnels — agents, mandataires, apporteurs d’affaires, diagnostiqueurs, courtiers, investisseurs — elle constitue une nouvelle grille de lecture du marché, un nouveau terrain de jeu commercial, et un réel avantage concurrentiel pour ceux qui sauront s’en saisir.

L’enjeu, désormais, n’est plus simplement d’informer : c’est de valoriser, anticiper et orienter les décisions des clients en prenant un coup d’avance.

Agents et mandataires : un argument de vente à réactualiser

Pour les agents immobiliers et mandataires, la réforme 2026 représente une opportunité immédiate de repositionner les biens électriques dans leur portefeuille. Avec une amélioration mécanique de l’étiquette (parfois de deux classes), plusieurs logements jusqu’ici difficiles à valoriser peuvent soudainement changer de catégorie, sortir du radar des passoires énergétiques et devenir beaucoup plus attractifs.

Cela implique deux actions essentielles :

1. Réactualiser les annonces et supports de vente

‍Les DPE recalculés après 2026 devront être intégrés aux fiches descriptives, aux visites virtuelles, aux argumentaires de négociation et aux estimations.Un bien qui passe de F à E ou de E à D peut être repositionné sur un segment supérieur, toucher une nouvelle typologie d’acheteurs et se négocier dans de meilleures conditions.

2. Former les équipes et mettre à jour les diagnostics obligatoires

Les agents devront être en mesure d’expliquer, simplement et précisément :

  • pourquoi l’étiquette a changé,
  • comment le coefficient 1,9 impacte l’énergie primaire,
  • ce que cela signifie en termes de valeur, de financement, et de conformité réglementaire.

Pour un acquéreur ou un investisseur, un interlocuteur capable de vulgariser la réforme devient un conseiller de confiance, pas un simple intermédiaire. C’est un avantage compétitif réel.

agents et mandataires immobiliers DPE


Courtiers, apporteurs d’affaires, diagnostiqueurs : une nouvelle donne

La réforme n’impacte pas seulement la vente : elle modifie aussi la manière dont les projets immobiliers seront financés, accompagnés et diagnostiqués.

1. Pour les courtiers : une réévaluation du risque et des conditions de financement

Les banques intègrent de plus en plus la performance énergétique dans leurs grilles d’analyse. Un bien mieux classé après réforme :

  • devient moins risqué pour l’organisme prêteur,
  • peut bénéficier d’un taux plus attractif,
  • facilite l’accès aux prêts rénovation,
  • renforce le dossier d’un investisseur souhaitant optimiser son cashflow.

Le courtier qui maîtrise la réforme pourra structurer des scénarios financiers plus intelligents et plus favorables à ses clients.

2. Pour les apporteurs d’affaires : un nouvel argument d’acquisition client

Un prospect hésite entre deux biens ? L’anticipation du DPE 2026 peut être l’élément déclencheur. En montrant comment un logement électrique gagne mécaniquement en valeur, l’apporteur d’affaires devient un stratège immobilier, pas un simple prescripteur.

3. Pour les diagnostiqueurs : un rôle accru dans la décision immobilière

La mise à jour des méthodes rend le diagnostic encore plus central dans l’acte d’achat, de vente et de location. Les diagnostiqueurs devront désormais :

  • intégrer les nouveaux seuils A–G,
  • maîtriser la conversion énergie finale / énergie primaire,
  • accompagner les propriétaires dans l’interprétation des résultats,
  • proposer des pré-diagnostics 2026 ou des scénarios de mise à niveau.

C’est une nouvelle ère où le diagnostic devient un outil de conseil, et non plus un document uniquement réglementaire.

Des opportunités business majeures à saisir dès 2026

Pour tous les professionnels de l’immobilier, la réforme ouvre une série d’opportunités concrètes :

  • Identifier les logements sous-évalués aujourd’hui et qui seront revalorisés dès 2026.
  • Optimiser les stratégies d’achat pour les investisseurs (cashflow, vacance locative, fiscalité).
  • Proposer des accompagnements rénovation ciblés pour les biens qui ne bougeront pas.
  • Créer des offres dédiées “spécial DPE 2026” (mise à jour DPE, recalcul, conseil vente).
  • Mettre en place un positionnement différenciant pour capter des mandats avant la réforme.
  • Renforcer la relation client grâce à une pédagogie accessible, concrète et stratégique.

En d’autres termes : la réforme ne doit pas être subie, mais transformée en levier de croissance, outil d’expertise et argument commercial pour tous les acteurs du marché.

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Foire aux questions

Ce nouveau DPE 2026 va-t-il modifier la valeur de mon bien immobilier ?
Faut-il refaire mon DPE avant ou après janvier 2026 ?
Mon logement est classé F ou G, que faire avant la réforme ?
Les logements neufs seront-ils concernés par cette réforme ?
Est-ce que cette réforme pourrait évoluer d’ici 2026 ?
Le DPE prend-il en compte les panneaux solaires ou l’autoconsommation ?
Comment savoir si mon futur achat sera impacté par la réforme ?
Les banques et courtiers prendront-ils en compte le nouveau DPE ?

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